New York, 2021. La guerre des Corbeaux est terminée. Dans le sang et la poussière, New York renaît de ses cendres. La vie reprend : l’université de magie Brakebills rouvre ses portes et les speakeasies accueillent de nouveau les riches magiciens de l’Upper East Side tandis que les bas-fonds du Bronx enterrent leurs morts. Cinq ans de guerre et rien n’a changé : la magie la plus pure est toujours réservée à ceux qui vivent en Haut, tandis que les relents d’alchimie souillée ruissellent dans les ruelles du Bas. C’est ainsi depuis des siècles, depuis que la Ligne qui sépare New York entre eux a été tracée. Et dans l’ombre, pourtant, la révolte gronde. Les trahisons se préparent et seule la lueur d’une dague tranchera l’obscurité.
city dark urban fantasy, 16+. / 1 rp par mois. / pas de minimum de mots. / le forum est configuré UTC−4 (heure canadienne) / drama inrp, not irl. stay fresh.
· clan : constellation des Goddrie | rejeté par son clan depuis qu'il est mercenaire, un dégoût profond de tout le système dans ses veines.
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· occupation : mercenaire | en marge de la société et aux ordres du plus offrant.
· civil status : marié | bientôt huit ans et toujours incapable de le réaliser.
· tarot card : the lovers à l'endroit | des sentiments trop facilement exprimés, même dans les pires circonstances, et une éternelle recherche de reconnaissance.
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dionysus | the crew · 26/07/21, 01:31 pm
Le temps commence à s’écouler trop lentement alors que Mars sort la tête de son livre pour regarder ses notes, déjà éparpillées sur toute la table, déjà trop pleine, et qui ont déjà besoin d’être organisées. S’il ne le fait pas maintenant, ce sera pire après. S’il continue de lire, ce sera pire dans tous les cas. Discrètement, pour ne pas déranger ses amis, il récupère les feuilles pour en faire un simple tas net, mais après avoir passé dix minutes à les remettre en ordre, il abandonne déjà l’idée de les relire. Elles sont sans doute très bien telles qu’elles sont, de toute façon. Lui, il voudrait juste continuer le livre. Mais puisqu’il ne peut pas, alors il n’a plus envie de travailler. Et si quelqu’un doit payer le prix de cette décision, c’est sans doute ses camarades de révision, n’est ce pas ? Un coup d’œil à l’horloge lui suffit à comprendre qu’il est de toute façon déjà tard, comme tous les soirs cette semaine quand ils quittent enfin la bibliothèque, avec les examens qui approchent. Un autre coup d’œil vers les autres lui permet d’être sûr de sa décision ; si Rios et Nox ont l’air de toujours suivre leurs lectures, même si Nox pique du nez, Ambrosia est en train de dévorer son crayon, et s’ils ne font rien pour la distraire un peu des études, il ne donne pas cher de la prochaine personne qui croisera sa route.
Il glisse sur le banc jusqu’à pouvoir être collé à Argyrios et regarder par-dessus son épaule. De l’autre côté de la table, Nox n’a pas sorti le nez de son livre et Ambrosia leur jette un regard curieux, peut être un peu désespéré, ou peut être qu’il l’imagine. « Oooouh, de la chimie. Quelle surprise. Tu sais que t’es censé apprendre des choses que tu sais pas faire, pas perfectionner encore ça hein ? Genre je sais pas, parler aux filles par exemple. » Il chuchote pour éviter le regard courroucé de la bibliothécaire, mais il n’est pas certain que le son de sa voix ne porte pas jusqu’aux autres usagers de la table. Ca n’en serait que plus drôle, après tout. Il faudrait sans doute être idiot pour ne pas voir les regards en coin qu’il lance à Ambrosia, la manière dont il perd toujours ses mots, et le rougissement de ses joues. Peut être qu’il n’est pas habitué à avoir de la compagnie féminine. Peut être que le problème, c’est simplement Ambrosia. « On devrait pouvoir t’aider pour ça t’en fais pas. Ambro ? Rios dit qu’il a besoin d’apprendre à parler aux femmes. Des conseils ? » Il y a sans doute des manières plus subtiles de terminer une session d’études. Il y a sans doute une manière de faire qui ne mettrait personne mal à l’aise. Mais la mécanique entre eux quatre s’est mise en place naturellement il y a bien longtemps, maintenant, et personne ne pense même à la changer. Rios bafouillera sans doute, Ambrosia s’agacera sans doute, Nox râlera sans doute, et lui, il rira sans doute un petit peu.
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Ambrosia Di Rosa
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Re: dionysus | the crew · 26/07/21, 03:52 pm
Elle devrait se sentir chanceuse d'être ici, combien de fois lui a-t-on répété. Ceux du Bas qui viennent du Haut sont rares, une opportunité d'une vie, un privilège à honorer. Elle déteste ces règles et ce qu'elle déteste encore davantage, ce sont les sacrifices qu'elle et Mars doivent faire pour rester ici. Réussir les examens à tout prix, avoir les meilleures notes, toujours devoir prouver ce qu'ils valent, encore et encore. Ils ont tant à perdre et c'est injuste. Mars est sans doute bien meilleur que nombreux des élèves du Haut et pourtant, il doit travailler deux fois plus pour rester en compétition. C'est son truc à Mars de réfléchir, pas à elle. C'est un miracle qu'elle soit encore ici en réalité et sans ses heures de révisions intensives, elle aurait sûrement déjà rejoint les bâtiments trop impersonnels et imposants du Bas.
Elle arrive au bout de ses capacités pour aujourd'hui, pourtant. Les phrases qu'elle lit n'arrivent plus à s'imprimer sur sa rétine, ne font plus sens dans sa tête. Ses doigts tapent sa cuisse, un tic d'agacement qu'elle ne peut retenir. Elle broie le bout du crayon entre ses dents et bientôt, le pauvre ustensile se casse en deux et elle, elle souffle lourdement. Elle s'attire le regard assassin d'un gosse de riche trop coincé et elle prend un malin plaisir à le foudroyer de ses prunelles bleutées à son tour. Enfin quelque chose d'intéressant. Elle jette le bout de crayon du bout des lèvres et l'observe s'écraser au sol avant d'ouvrir la bouche. "T'as un problème ? Tu veux venir me le dire en face ?" Elle n'a pas le temps de poursuivre ses menaces dans le vent, jamais elle n'oserait faire quoi que ce soit qui pourrait l'exclure de Brakebills, la voix de Mars accapare son attention.
Elle relève le regard sur lui, son mari, puis sur Argyrios. Il a toujours l'air un peu coincé Rios, un peu trop sérieux peut-être, et pourtant, il y a toujours une flamme déconcertante dans son regard. Elle ne se lasse pas de l'observer, de se demander à quoi il ressemblerait si le feu en lui l'embrasait pour libérer la fougue. Elle pense qu'il serait magnifique, plus encore que maintenant. Non pas qu'elle passe son temps à l'admirer, loin de là, mais n'importe qui doté d'une paire d'yeux ne saurait nier le charme d'Argyrios. "Une fois, j'ai frappé un gros lourd qui faisait chier une fille. Elle m'a embrassée pour me remercier et on a passé une super soirée." Elle hausse les épaules, indifférente. Ce souvenir remonte, elle avait seize ans ou peut-être tout juste dix-sept ans. Elle était libre à l'époque, ou du moins l'illusion était encore debout. Pas encore de bague à son doigt. "Pas sûre que ça marche pour toi Rios par contre, tu m'as tout l'air d'un cas désespéré, désolée."
Ses yeux dévient alors sur Nox en train de piquer du nez et un sourire espiègle illumine alors son visage. Elle s'arme de la deuxième moitié de son crayon à papier et cadre son tir pour que la mine vienne atterrir précisément entre les deux yeux du compagnon assoupi. "T'es en train de baver sur tes fiches de révision, imbécile." Son sourire s'efface lorsque le gosse de riche lui intime de se taire et elle prend une grande inspiration pour ne pas perdre son calme. Elle ne doit pas faire une scène. Elle ne peut pas se le permettre. "Venez, on bouge d'ici avant que je ne tue quelqu'un. J'en peux plus des révision, on peut pas se poser dans la chambre de Rios ou de Nox ? J'ai faim en plus."
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Argyrios Petracca
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Re: dionysus | the crew · 29/07/21, 02:39 pm
argyrios, nox, mars et ambrosia
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Argyrios n'a pas réussi à travailler correctement depuis peut-être une semaine. A chaque fois qu'il s'assoit à un bureau, qu'il pose les livres devant lui et qu'il sort de quoi les décortiquer, il ne se passe pas cinq minutes avant que son esprit divague et se perde. La première fois, c'était une mauvaise journée. Il avait sûrement mal dormi, et c'était la plus longue journée de son emploi du temps. La deuxième fois, c'était un peu de malchance. Il n'avait pas beaucoup mangé et le livre était particulièrement ardu. La troisième fois, ça ne l'amusait déjà plus du tout. Il sait bien qu'on se moque un peu de lui, qu'il est trop sérieux et que ce n'est pas quelques jours sans travailler qui lui coûteront son diplôme. Mars le chambre tous les jours, lui dit qu'il est coincé ou franchement pas marrant. La vérité, c'est qu'il aime travailler. Il aime apprendre et comprendre. Peut-être que c'est parce qu'il a toujours eu le temps de le faire, alors que sa famille ne s'intéressait qu'à son frère. Peut-être que c'est justement parce qu'on ne s'intéressait pas à lui qu'il a pris goût à s'intéresser au monde. Toujours est-il qu'il passe des heures à la bibliothèque par plaisir ... et qu'il n'a rien à répondre à Mars qui a sûrement un peu raison. Mais il n'est pas habitué à ce que ça ne marche pas. Il n'est pas habitué à ne pas pouvoir contrôler ses pensées et à gribouiller dans les marges des bouquins au lieu de les lire. Cela fait une semaine, et cela l'agace prodigieusement.
Aujourd'hui pourtant, il a le nez vissé à son bouquin et son poignet lui fait mal tellement il a écrit. Il a envie d'une cigarette, mais il la repousse parce qu'aujourd'hui ça marche et qu'il est occupé. Ca n'a rien à voir, bien sûr, avec le fait qu'aujourd'hui Ambrosia est assise juste en face de lui et que s'il lève la tête de son travail il pose les yeux pile sur elle. Rien à voir avec le fait que si elle est là il ne peut pas se permettre de se laisser distraire. Rien à voir avec le fait que si elle est là, il ne peut pas penser à elle. A combien il a envie de la chercher, de l'agacer, de se moquer de ses vêtements ou de sa colère constante ou de sa relation avec Mars dont il n'est définitivement pas jaloux ou de la façon dont elle fronce les sourcils quand elle s'apprête à l'envoyer voir ailleurs. La science, c'est définitivement plus simple à gérer qu'Ambrosia.
Comme toujours, il faut que Mars gâche tout. Il faut qu'il s'approche de lui pour le déranger, poussant son coude au passage sans remarquer la grosse trace de stylo qui dérape sur son cahier, et qu'il l'interrompe alors qu'il allait enfin comprendre le -
Il le déteste. Il lui faut quelques secondes pour comprendre ce qu'il vient de dire et il le déteste définitivement. Parfois, il se demande si son meilleur ami a compris quelque chose qu'il ignore, dans sa façon de regarder sa femme sans pouvoir s'empêcher de chercher le conflit avec elle. Si son obsession à le décoincer, comme il dit, vise à le pousser loin d'Ambrosia ou au contraire vers elle. Tout ça est bien trop compliqué pour lui. Et inutile. Il déteste les pensées inutiles. Il n'y a rien entre Ambrosia et lui, rien d'autre que des étincelles et un gros nigaud qui ne sait pas se taire.
« T'as bien de la chance qu'on t'ait fiancé à la naissance, Mars, parce que je ne connais personne au monde qui aurait pu te trouver charmant. »
Il a à peine le temps de lui répondre qu'Ambrosia évoque un échange physique avec une jeune femme qui lui aurait fait monter le rouge aux joues s'il n'avait pas l'habitude de garder l'air stoïque qu'on lui connaît généralement. Heureusement, elle change de sujet pour se moquer de Nox, et Rios réalise que son cousin ronfle doucement. La tête qu'iel fait en recevant le crayon d'Ambrosia entre les yeux est impayable. Il pouffe, réunissant gentiment les quelques notes prises par Nox avant qu'iel s'endorme. Derrière, Ambrosia s'énerve déjà sur un pauvre inconnu qui avait sûrement prévu de passer la nuit ici. Il va falloir qu'ils partent.
« Vous ne savez pas vous tenir, les gens du Bas, c'est fou. Ambrosia a vraiment été élevée par des chiens errants ! »
C'est une blague récurrente entre eux, une qu'il lance à tout va quand la blonde monte en pression pour rien ; sûrement parce que c'est plus facile de la traiter de sauvage que de comprendre sa colère. Argyrios préfère essayer de comprendre la chimie plutôt que de se pencher sur le mystère d'Ambrosia.
« Si tu voulais venir dans ma chambre, chérie, tu pouvais me le demander directement. Pas besoin de faire mine d'inviter tout le monde. »
Il lui adresse un regard torride, un de ceux qu'il a appris en imitant son frère sans réaliser qu'ils n'étaient pas des blagues. Il n'a jamais été grand dragueur - ou alors peut-être qu'il l'est uniquement parce qu'on prend ses avances au sérieux. La ligne est fine entre les deux, aussi fine que celle sur laquelle il marche avec la femme de son meilleur ami.
« Enfin, je n'ai pas envie de me faire égorger dans votre dortoir de sauvages et la chambre de Nox est sûrement tellement en désordre qu'on ne pourra pas poser un pied par terre. Vous êtes officiellement invités dans mon humble demeure. »
Il a horreur du désordre ; il a horreur d'avoir des gens chez lui, mais il a vraiment bien plus horreur du désordre. Et puis, Nox, Mars, Ambrosia, ce ne sont plus vraiment des gens, maintenant. Plus seulement.
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Nox Petracca
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Re: dionysus | the crew · 05/08/21, 06:43 pm
Tu dors à moitié sur tes révisions, et pourtant, tu écoutes. Tu laisses trainer une oreille attentive autour de toi, au cas où. Au cas où Mars ne vienne t’agacer. Au cas où une information intéressante viendrait pointer le bout de son nez. Au cas où un feu démarrerait juste sous ton nez parce que les yeux d’Ambrosia réussiraient finalement à envoyer des éclairs pour de vrai. Alors tu notes vaguement les moqueries dans un coin de ta tête, puis tu repique du nez. Tu aurais presque pu vraiment t’endormir, si une boulette de papier n’était pas arrivée pile sur le bout de ton nez. Tu sursautes, papillonne des paupières quelques secondes, puis te reconnecte enfin à la réalité.
« Hé ! » C’est bien trop outré pour la cause. Bien trop râleur et bougeons pour être vraiment sérieux. Ta main vengeresse récupère la boule de papier pour la renvoyer à l’attaquante. Pile entre les deux yeux. Joli tir. Pas très puissant, vu la mollesse de l'atterrissage, mais joli tir quand même. Tu ricane dans ta barbe inexistante avant de t’étendre mollement sur sa chaise, raccrochant à grande peine la conversation. Donc, on en est au moment où Rios se la joue plus stupide qu’il n’est et où Mars essaye de l’asticoter sur son affection envers Ambro’, c’est bien ça ? Une vieille rengaine, ça encore. Il n’y avait bien qu’Ambrosia pour ne rien voir, ni rien entendre. Et si même Mars l’avait remarqué, c’était bien la preuve que son cousin cachait très mal ses sentiments.
« Oh, je ne suis pas vraiment d’accord tu sais. Peut-être qu’un jour Mars finira par faire tomber quelqu’un sous son charme, comme, je ne sais pas moi, une vieille dame aveugle et sourde avec un alzheimer féroce. Il faut au moins ça pour le supporter. » Les bras désormais croisés sur sa poitrine, tu ne peux t'empêcher d’en rajouter une couche. C’est trop tentant, et surtout trop facile. Un peu trop vrai, aussi, tant il te semble impossible pour quelqu’un de normalement constitué de s’attacher à ce crétin. La conversation suit paisiblement son cour jusqu’au moment fatidique du changement de lieu. Pitié, tout, sauf dans ta chambre. Rios semble entendre tes appels à l’aide silencieux, mais en profites pour railler ton système de rangement disons… approximatif.
« C’est un bordel organisé je te signale. » Tu ronchonne pour la forme. Organisé de quoi, ça, personne ne le sait. Pas même toi qui passe ta vie à chercher tes affaires dans le capharnaüm de ta chambre. Tu n’a jamais été très organisé. Prudent et sérieux, oui. Mais organisé, jamais. Même tes notes de cours sont une véritable catastrophe à relire pour les autres avec tes pattes de mouches et tes dix-milles annotations aléatoires. « On ferait mieux de bouger d’ici rapidement avant qu’Ambrosia ne décide de frapper un nouveau gros lourdingue. On en a visiblement deux autour de cette table, elle a l'embarras du choix en plus. »